Laisse béton-Renaud- (et oui j'aime bien certain chanson de Renaud
)
J'étais tranquille j'étais peinard
Accoudé au flipper
Le type est entré dans le bar
A commandé un jambon-beurre
Puis il s'est approché de moi
Pi y m'a regardé comme ça
T'as des bottes mon pote
Elles me bottent
J'parie qu'c'est des Santiag
Viens faire un tour dans l'terrain vague
J'vais t'apprendre un jeu rigolo
A grands coups de chaîne de vélo
J'te fais tes bottes à la baston
Moi j'y ai dis laisse béton
Y m'a filé une beigne
J'ai filé une torgnole
M'a filé un châtaigne
J'lui ai filé mes grolles
J'étais tranquille j'était peinard
Accoudé au comptoir
Le type est entré dans le bar
A commandé un café noir
Puis il m'a tapé sur l'épaule
Et m'a regardé d'un air drôle
T'as un blouson mec'ton
L'est pas bidon
Moi j'me les gèle sur mon scooter
Avec ça j's'rais un vrai rocker
Viens faire un tour dans la ruelle
J'te montrerai mon Opinel
Et j'te chourav'rai ton blouson
Moi j'y ai dis laisse béton
Y m'a filé une beigne
J'ai filé un marron
M'a filé une châtaigne
J'ai filé mon blouson
J'étais tranquille j'étais peinard
Je réparais ma mobylette
Le type a surgi sur l'boul'vard
Sur sa grosse moto super chouette
S'est arrêté l'long du trottoir
Et m'a regardé d'un air bête
T'as l'même blue jean que James Dean
Tu arrête ta frime
J'parie qu'c'est un vrai Levy-Strauss
Il est carrément pas craignos
Viens faire un tour derrière l'église
Histoire que je te dévalise
A grands coups de ceinturons
Moi j'y ai dis laisse béton
Y m'a filé une beigne
J'ai filé une mandalle
M'a filé une châtaigne
J'ai filé mon futal
La morale de c'te pauvr'histoire
C'est qu'quand tes tranquille et peinard
Faut pas trop traîner dans les bars
A moins d'êtr'fringué en costard
Quand à la fin d'une chanson
Tu t'retrouve à poil sans tes bottes
Faut avoir d'l'imagination
Pour trouver une chute rigolote
Look at the pain-Black Bomb Ä-Look at the pain x2
Look at the pain x2
Take pleasure, see misery
Look at the pain x2
Take pleasure, see misery
Look at the pain x4
Don’t want to see it anymore
I prefer to fight
Look at the pain…
Your images make me sick
Blind people,
Peace of mind :
Fucked from today
Look at the pain…
Men dyin’ for a religion
No mercy
Blind horrors
Fucked from today
Look at the pain…
Now sacrify in
the name of profit
No more love
fucked from today
look at the pain..
the planet is poisoned
who will pay ?
it’s too late
fucked from today
Power
On your screen
Valours
On your screen
sufferings
On your screen
run, devil, run
Dead by my hand
By my mind
Straight in your head
When fiction becomes reality
Break
Steal poor people:
Make money
To finance your clean wars
See the effects of your propaganda
Look: the all world is fooling itself
And I say :
I’m changed
Broken
Despoiled
Deceived
Abused
Betrayed
Torn…
You suckers !
Every war has its innocents
Turn their life into weapons
Give an excuse to all of your crimes
Now pain feeds me…
Needle-System of a down-I cannot disguise,
all the stomach pains
and the walking of the cranes
when you, do come out
and you whisper up to me
in your life of tragedy
But I cannot grow
till you eat the last of me
oh when will I be free
and you, a parasite
just find another host
just another fool to roast
cause you
my tapeworm tells me what to do
you
my tapeworm tells me where to go
Pull the tapeworm out of your ass, HEY
Pull the tapeworm out of your ass, HEY
Pull the tapeworm out of your ass, HEY
Pull the tapeworm out of your ass, HEY
I cannot deny
all the evil traits
and the filling of the crates
when you, do come out
and you slither up to me
in your pimpin majesty
but I cannot grow
till you eat the last of me
oh when will I be free
and you, a parasite
just find another host
just another stool to post
cause you
my tapeworm tells me what to do
you
my tapeworm tells me where to go
Pull the tapeworm out of your ass, HEY
Pull the tapeworm out of your ass, HEY
Pull the tapeworm out of your ass, HEY
Pull the tapeworm out of your ass, HEY
Pull the tape worm out of me...
I'm just sitting in my room
with a needle in my hand
waiting for the tomb
of some old dying man
sitting in my room
with a needle in my hand
waiting for the tomb
of some old dying man
cause you
my tapeworm tells me what to do
you
my tapeworm tells me where to go
Pull the tapeworm out of your ass, HEY
Pull the tapeworm out of your ass, HEY
Pull the tapeworm out of your ass, HEY
Pull the tapeworm out of your ass, HEY
HEY, HEY, HEY, HEY
A gauche comme à droite-Tagada Jones-Tous assis sur les mêmes bancs d'écoles,
En cols blancs et au premier rang,
S'est formée gentiment l'élite du gouvernement.
L'un ne se doute pas, que l'autre deviendra candidat,
Les meilleurs amis, restent toujours frères de sang pour la vie.
Le divorce se précise, des opinions les divisent,
Pourtant les coeurs battent d'une amitié,
Que rien au monde ne viendra ébranler.
Ils boivent à la gloire de leurs succès,
S'adonnent même à tous les excès,
La politique vit ses heures de gloire,
Avant de prendre les rennes, les rennes du pouvoir.
A gauche comme à droite, on vient de l'aristocratie, de la noblesse et des beaux quartiers de Paris.
A gauche comme à droite, on vit comme des rois, on parle toujours de ce qu'on ne connaît pas.
A gauche comme à droite, on dépouille l'argent de l'état, qu'il y en ait plein les caisses ou qu'il n'y en ait pas,
Et depuis toujours ils ressassent le même discours.
A gauche comme à droite, on retourne souvent sa veste, toujours avant que le peuple ne vous moleste.
A gauche comme à droite, on se pavane dans le monde, dans de belles caisses au frais de la princesse.
A gauche comme à droite, on parle des petites gens d'en bas, en se bâfrant de caviar, de foie gras,
Et depuis toujours ils ressassent le même discours.
Et depuis toujours ils ressassent le même discours.
Les mêmes syllabes si bien prononcées, si bien maniées des deux côtés
Et depuis toujours ils ressassent le même discours.
Les mêmes métaphores toujours employées comme pour mieux nous embobiner.
Nos deux compères se sont séparés, chacun de leur côté,
Pas moyen d'oublier le passé, pas moyen de l'étouffer,
Les idées peuvent elles briser l'amitié?
Pas moyen d'oublier...
Et depuis toujours ils ressassent le même discours.
Les mêmes syllabes si bien prononcées, si bien maniées des deux côtés
Et depuis toujours ils ressassent le même discours.
Les mêmes métaphores toujours employées comme pour mieux nous embobiner.
A gauche comme à droite, on vient de l'aristocratie, de la noblesse et des beaux quartiers de Paris.
A gauche comme à droite, on vit comme des rois, on parle toujours de ce qu'on ne connaît pas.
A gauche comme à droite, on dépouille l'argent de l'état, qu'il y en ait plein les caisses ou qu'il n'y en ait pas,
Et depuis toujours ils ressassent le même discours.
A gauche comme à droite, on retourne souvent sa veste, toujours avant que le peuple ne vous moleste.
A gauche comme à droite, on se pavane dans le monde, dans de belles caisses au frais de la princesse.
A gauche comme à droite, on parle des petites gens d'en bas, en se bâfrant de caviar de foie gras,
Et depuis toujours ils ressassent le même discours.